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Protégé : [Résumé] « Est-ce que les fers contractent les talons ? Une étude rétrospective sur 114 chevaux », M. Senderska-Plonowska et al., 2020
![Protégé : [Résumé] « Est-ce que les fers contractent les talons ? Une étude rétrospective sur 114 chevaux », M. Senderska-Plonowska et al., 2020 Protégé : [Résumé] « Est-ce que les fers contractent les talons ? Une étude rétrospective sur 114 chevaux », M. Senderska-Plonowska et al., 2020](https://sciencesequines.fr/wp-content/uploads/2023/06/encastelure-miniature.jpg)
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La majorité des chevaux de sport n’est pas hébergée dans des conditions leur permettant de répondre à un besoin fondamental : la possibilité de se mouvoir librement et de façon autodéterminée. Et s’il était possible de leur offrir cette opportunité sans risque de blessure ? Leur bien-être en serait-il amélioré ? Cette étude de Clémence Lesimple et ses collègues apporte des éléments de réponse.
Dans le milieu sauvage, vivre en groupe permet de mieux se protéger des prédateurs, de maximiser les stratégies de recherche de nourriture et de faciliter le transfert des connaissances par l’apprentissage social. Mais comment se construit la cohésion nécessaire à la survie du groupe ? Pour répondre à cette question, l’équipe de R.S. Mendonça a observé plusieurs groupes de chevaux féraux du nord Portugal.
Le panier de pâturage favoriserait la perte de poids des chevaux en surpoids. Mais combien de temps faut-il le laisser porter par jour ? Et a-t-il d’autres effets sur le quotidien des chevaux ?
Les conditions d’hébergement des chevaux leur imposent souvent de longues périodes sans activité. Le moment du repas est attendu avec impatience mais hélas souvent très vite terminé. Les filets à foin sont souvent présentés comme une solution pour prolonger ce temps, mais ils ne sont pas sans risque. H Lundqvist et C.E. Müller se sont intéressées à une autre solution.
Connaissez-vous ces mouches piquantes, ressemblant fortement à une mouche commune mais infligeant de douloureuses piqûres à nos équidés ? Le groupe Gestion des insectes vous en propose un portrait suivi du résumé d’une étude menée en 2018 qui compare des moyens chimiques, biologiques et mécaniques pour les éloigner des chevaux.
Depuis leur domestication, les ânes et les chevaux habitent des régions climatiques très variées. Pourtant ces deux espèces d’équidés ont des ancêtres différents issus de régions climatiques tout aussi différentes. Mais alors, ont-ils les mêmes capacités de résistance face aux aléas météorologiques ? Une étude de 16 mois dans le sud ouest anglais tente de répondre à cette question.
Ces dernières années, l’utilisation des chevaux dans le cadre d’équithérapies gagne en popularité, et leurs bienfaits sur l’humain ne sont plus à démontrer. En revanche, aucune recherche n’a testé comment les équidés de médiation perçoivent l’humain de manière générale. C’est ce que Noémie Lerch et son équipe ont souhaité savoir.
Lorsque les taons, les mouches et d’autres insectes piqueurs sont présents en grand nombre dans les prés, le temps de pâturage devient souvent inconfortable pour les chevaux. Ils émettent alors beaucoup de comportements pour éloigner les insectes qui reviennent constamment à la charge. Comment aider les chevaux à se protéger ? La présence d’abris dans les prés se révèle-t-elle utile ?
Suite à un sondage réalisé sur les réseaux sociaux, 90 % des répondants pensent qu’augmenter la distance parcourue chaque jour serait bon pour la santé du cheval.
Grâce à cette étude basée sur une recherche participative, les bénévoles de l’Association pour le Développement des Sciences Équines observent pour la première fois les déplacements des chevaux dans leur hébergement habituel, avec ou sans couloirs.